Le traditionnel allié du Parti socialiste, le PRG, vient d'apporter son soutien à la campagne de notre candidat Benoît Hamon. En cette période où le reniement de la parole donnée est devenu une marque de fabrique, cette initiative est à saluer. L'élargissement du socle sur lequel se construit la candidature de la gauche modérée est une excellente nouvelle. D'autres, parfois plus locales, l'accompagnent. Petit tour d'horizon sous forme de revue (non exhaustive) de presse.
(photo copyright Le Monde)
"Le Parti radical de gauche (PRG), dont la présidente, Sylvia Pinel avait participé à la primaire de la gauche, a annoncé mercredi 15 mars son soutien à Benoit Hamon pour la présidentielle. Le PRG a également validé un accord avec le Parti socialiste en vue des législatives.
Le PRG a assuré dans un communiqué que Mme Pinel, « respectera l’engagement contracté au moment de sa candidature » à la primaire remportée par M. Hamon. Le parti avait pris quinze jours de réflexion supplémentaires avant de prendre sa décision pour examiner notamment l’opportunité de s’entendre avec Emmanuel Macron." Lire la suite sur le site du Monde.
"Candidate malheureuse à la primaire organisée par le Parti socialiste, la présidente du PRG Sylvia Pinel a présenté au comité directeur de son parti une lettre d'engagement programmatique du vainqueur, Benoît Hamon.
Dans cette lettre, dont l'AFP a obtenu copie, le candidat répond à ses exigences, entre autres sur une nouvelle gouvernance économique de la zone euro, la volonté d'avancer rapidement sur une harmonisation européenne de l'impôt sur les sociétés, une aide spécifique pour encourager les TPE à remplir leurs objectifs sociaux et environnementaux. Une réflexion sur la co-gestion dans les entreprises, la poursuite de la recherche sur le nucléaire civil et militaire ou le remplacement de l'Observatoire de la laïcité par une délégation interministérielle sont aussi citées.
Décrivant le PRG comme "un acteur incontournable de la gauche, une formation politique qui impose le respect", Benoît Hamon y assure qu'il n'a jamais "confondu (sa) gauche et (sa) droite". Lire la suite sur le site de L'Obs.
Bienvenue à nos amis radicaux dans cette campagne. Localement, nous sommes à leur disposition pour discuter des actions que nous perrions éventuellement mener ensemble, sous réserve que les radicaux tournageaux suivent la décision de leur parti, bien évidemment...